La ville hôte de la quarantième édition de la rencontre européenne de Taizé semble faite pour l’esprit œcuménique et international de ce rassemblement. Dans les commerces et les rues pavées et de la vieille ville quadrillée par les tramways, l’allemand et le français se mélangent, comme d’ailleurs les euros et les francs suisses. « Bâle est une ville avec une vie intensément œcuménique, et intensément européenne. C’est une ville parfaite pour accueillir Taizé », vante Mgr Felix Gmür, évêque de Bâle depuis 2010. « Bâle est une ville sécularisée, mais où se vit un christianisme très ouvert », abonde Konrad Meyer, responsable pour la diaconie des Église protestantes de Bâle.
Source: La Croix December 31, 2017 09:33 UTC