Loin de tout, dans un froid minéral, tout au nord du monde. Tombée sous le charme du Svalbard, l’artiste américaine Elizabeth Bourne s’est installée en 2017, notamment pour réaliser des cyanotypes. Car si la vie au Svalbard n’a plus grand-chose à voir avec celle des pionniers, on y trouve tout de même des indices. « On se sent tout petit, comme une infime partie d’un grand tout. » Au Svalbard, tout le monde ou presque s’est fait peur à un moment ou à un autre.
Source: La Croix August 03, 2024 19:26 UTC