Jeudi 3 septembre, dès l’ouverture des débats, Régis de Jorna, le président de la Cour d’assises spéciale, annonce que le procès des attentats de janvier 2015 ne sera finalement pas complètement masqué. Au passage, Christian Saint-Palais épingle le « confort bourgeois » des avocats qui réclament de pouvoir s’exprimer sans masque. Puis l’audience se poursuit avec l’examen de la personnalité de deux premiers accusés. Mais il était absent des locaux du journal durant cette terrible matinée du 7 janvier 2015. Et on le sent agacé par ce débat sur le masque qui, depuis deux jours, n’en finit plus.
Source: La Croix September 03, 2020 10:19 UTC