Au lieu d'attendre patiemment l'arrivée des ordinateurs quantiques, Atos leur propose de se doter de son QLM pour commencer dès aujourd'hui à travailler sur des programmes informatiques quantiques, à les tester et à les optimiser. Pour leur faciliter la tâche, Atos met à leur disposition un nouveau langage : aQasm (pour Atos quantum assembly langage). Et enfin, sur le développement avec nos partenaires académiques d'accélérateurs - et un jour d'ordinateurs - quantiques ». Sur ce dernier point, Atos est cependant très clair : le groupe ne développe pas son propre ordinateur quantique, contrairement à IBM, Microsoft ou Google. Mais le jour où il faudra passer à la phase industrielle, bien sûr qu'Atos sera présent », assure Thierry Breton.
Source: Les Echos July 04, 2017 17:37 UTC