Il y a eu une belle bagarre dans le final et pas mal de suspense. Sarreau a pris le relais et Guarnieri a été là pour finir de me lancer. Au moment où je double Kristoff (Katusha-Alpecin), je sens que j'ai la patte pour aller jusqu'au bout. Ça fait du bien au moral de lever les bras d'entrée de jeu. Je savais que j'étais bien à l'entraînement mais c'est vraiment en course qu'on prend les automatismes.
Source: L'Equipe February 01, 2017 18:33 UTC