Par exemple, l’idée que les « Français juifs » ou les « Français musulmans » sont des « Français comme les autres ». Malgré un contexte très défavorable, « on est tenté de dire que la tolérance tient, analyse Nonna Mayer. À lire aussi Antisémitisme : un rapport sénatorial appelle à une mobilisation de l’universitéLa mauvaise nouvelle du baromètre est la baisse de la tolérance plus marquée concernant les juifs. Sur ce point aussi, Nonna Mayer veut toutefois souligner une raison de ne pas désespérer. « C’est plutôt positif, car cela signifie que la dégradation de la situation ne laisse pas indifférents les Français », conclut la chercheuse.
Source: La Croix June 27, 2024 09:55 UTC