Ces TGV de nouvelle génération vont relier Boston et Washington, la capitale fédérale, via New York et Philadelphie, couvrant une distance de 730 kilomètres (km). Un marché porteurAu-delà, ce contrat américain est une vitrine pour la technologie française, commercialisée depuis 1981 et modernisée depuis. Outre les États-Unis, la France, l’Espagne, le Royaume-Uni, la Turquie, la Russie, l’Australie et la Chine qui construisent actuellement de nouvelles lignes à grande vitesse auront besoin de nouveaux TGV, calcule Alstom. Environ 60 000 km de lignes à grande vitesse supplémentaires devraient, selon l’organisation, être construites d’ici à 2030. Actuellement, seules 25 000 km de lignes à grande vitesse sont opérationnelles dans le monde.
Source: La Croix August 27, 2016 10:41 UTC