Ces incidents, liés à des individus radicalisés, ont été démentis par la compagnie aérienne. Contactée par Le Figaro dans la soirée, la compagnie aérienne a démenti ces accusations, et dénonce des «rumeurs infondées» et de «fausses informations». Dans les colonnes de l'hebdomadaire satirique, un agent du renseignement fait état d'une «dizaine de personne sous surveillance» dans le groupe. Elles s'apparentent à des tentatives de sabotage», témoigne notamment cette source. Faute de preuve, les deux hommes ont été déplacés à des postes «moins sensibles» au nom du principe de précaution.
Source: Le Figaro October 05, 2016 20:05 UTC