Vue de la maison de Marcel et Jacqueline Jacob à Aumontzey, en juin 2017. Obligés de résider loin de leur domicile et à vivre séparément, les époux Jacob demandent la levée de leur contrôle judiciaire. À lire aussi : Quand les parents de Grégory parlaient à la CroixUne audience et des compléments d’expertises« Cette interdiction de relation entre époux est une aberration », dénonce l’avocat de Marcel Jacob, Stéphane Giuranna. Depuis juin dernier, « des actes et des auditions se poursuivent », insiste le ministère public, évoquant notamment des compléments d’expertises en écriture sur les documents saisis chez les époux Jacob. La relecture du tentaculaire dossier par le logiciel Anacrim a par ailleurs conduit les enquêteurs à suspecter plusieurs personnes et à considérer les époux Jacob comme les « cerveaux » de l’affaire.
Source: La Croix October 25, 2017 04:30 UTC