Le futur numéro deux du secteur en Europe compte supprimer 4000 emplois. Malgré ses efforts et les mesures antidumping prises en octobre 2016, l'Europe n'a pas réussi à protéger ses activités sidérurgiques des importations chinoises. Même si les cours de l'acier sont repartis à la hausse depuis un an, cette concurrence à bas coût oblige l'allemand ThyssenKrupp et l'indien Tata Steel à fusionner leurs activités européennes. Ils se sont mis d'accord pour créer l'an prochain, à parité, une coentreprise, ThyssenKrupp Tata Steel, dont le siège sera installé aux Pays-Bas. «C'est la seule option qui offre un avenir durable à notre activité sidérurgique», a affirmé le patron du groupe allemand, Heinrich Hiesinger, qui avait ...
Source: Le Figaro September 20, 2017 18:00 UTC