«Tout le monde ramène plusieurs tonnes, voire plusieurs dizaines de tonnes tous les jours», commente, devant ce ballet incessant avec le mont Saint-Michel en toile de fond, François-Joseph Pichot, co-gérant des parcs Saint-Kerber. «Les huîtres, c'est comme l'agriculture: il faut de l'eau douce et du soleil. «Le problème, c'est qu'on en perd 90% minimum parce qu'elles sont victimes d'un prédateur», déplore François-Joseph Pichot qui en produit pourtant. «A Cancale, en matière d'huîtres, on a la plus faible densité de France», relève François-Joseph Pichot. Dernier défi pour la commune bretonne: obtenir son inscription au patrimoine immatériel de l'Unesco pour l'élevage de ses huîtres, cultivées depuis le VIè siècle.
Source: La Croix December 14, 2019 11:03 UTC