Le 3 juillet, le chef de l’État a pris la parole à la tribune du Congrès, pour fixer les priorités de son quinquennat devant les députés et les sénateurs réunis à Versailles. Entre tradition et modernité pour « rendre compte », à la manière d’un président américain. Et pour donner plus de poids au changement qu’il veut mettre en œuvre, Emmanuel Macron s’est appuyé sur deux piliers : la « souveraineté » et le « progressisme ». à lire : Emmanuel Macron devant le Congrès : « Ce premier discours restera unique »Pour redonner à la politique française la « grandeur qui lui a manqué ces dernières années », le président Macron est donc revenu sur la transformation du cadre institutionnel. Il entend substituer à « une citoyenneté abstraite et froide » et à des « dispositifs de charité » dispersés « une vraie politique d’inclusion de tous ».
Source: La Croix July 03, 2017 16:41 UTC