Fin avril, il représentait 13 % des immatriculations (de véhicules particuliers) des entreprises et 7,6 % de celles des ménages. Toujours dans les entreprises, les immatriculations de modèles 100 % électriques dépassent depuis le mois de février celles en diesel. Comment, dès lors, expliquer cette inquiétude qui, mois après mois, semble peu à peu saisir constructeurs, politiques, observateurs, ONG ? Il reste encore dix ans avant la date fatidique de 2035 et l’interdiction des ventes de modèles thermiques en Europe. Car il faut aussi comprendre les clients finaux, ménages comme entreprises, sans doute quelque peu désabusés par le spectacle qui leur est proposé.
Source: Les Echos May 16, 2024 08:32 UTC