Il fallait donc attendre qu’Emmanuel Macron parle pour que la campagne de la République en marche pour les élections européennes soit officiellement lancée. » Évoquant la « montée du nationalisme », le Brexit, des « enjeux économiques forts », le cadre LaRem estime qu’il y a besoin d’un « leadership en Europe et, aujourd’hui, c’est Emmanuel Macron qui l’incarne ». « Cette campagne, elle, ne doit pas être entre une ouverture béate et le retour au nationalisme », a plaidé Emmanuel Macron. On perçoit toujours le clivage « progressistes-nationalistes » cher à LaRem et à son véritable patron, mais le ton s’est quelque peu radouci. Jusque-là – et sans doute au-delà –, la tête de liste s’appelle, on l’aura compris, Emmanuel Macron.
Source: L'Humanite March 04, 2019 18:56 UTC