Comme le rappelle Marco Martella dans le prologue de son recueil de nouvelles Les Fruits du myrobolan, Balzac qualifiait déjà la région de «désert de céréales». Marco Martella amène en douceur une fin tragique. Blancs après-midi d’étéDébutant, ainsi que toutes les autres nouvelles, comme un récit tiré du quotidien, Le Pavillon hanté se métamorphose avec brio en conte fantastique. Une vraie.» Les Fruits du myrobolan, mêlant avec élégance nature et littérature, incite à ouvrir les yeux sur la beauté qui s’invite dans les interstices de la banalité. Nouvelles, Marco Martella, «Les Fruits du myrobolan», Actes Sud, 184 p.
Source: Le Temps June 09, 2023 00:01 UTC