«La liberté contre les barbares» - News Summed Up

«La liberté contre les barbares»


Il est mort, décapité, en pleine rue, en pleine journée, en France. Professeur d’histoire, il rejoint le mémorial des victimes de l’islamisme conquérant aux côtés des soldats de Montauban, des enfants de l’école Otzar Hatorah, des journalistes et des dessinateurs de Charlie, de la policière de Montrouge, des Français juifs de l’Hyper Casher, des promeneurs niçois du 14-Juillet, du père Hamel, des massacrés du Bataclan et des terrasses des cafés, des jeunes filles de la gare Saint-Charles, du colonel Beltrame, des policiers de la Préfecture de police et de toutes ces victimes qui, de Saint-Quentin-Fallavier au Champs-Élysées, de Villejuif à Romans-sur-Isère sont morts sous les balles, les couteaux des djihadistes. Si ce n’est pas une guerre sur notre territoire, un «choc de civilisation à l’intérieur même de la communauté nationale» (Alain Finkielkraut) qu’est-ce donc? La terreur frappe les institutions, les symboles, les gens ordinaires. Les frères Kouachi ont fait des émules dans les rues


Source: Le Figaro October 16, 2020 21:36 UTC



Loading...
Loading...
  

Loading...

                           
/* -------------------------- overlay advertisemnt -------------------------- */