Oreilles découpées, yeux arrachés, corps parfois éventrés... Sandrine* n'ose pas imaginer retrouver un de ses chevaux dans cet état. Depuis début août et la multiplication des mutilations, ces images d'horreur hantent les nuits de Sandrine* : «Je n'en dors plus. Dès que j'entends un bruit dans la nuit, je sors de chez moi pour voir». Je n'en dors plus. «On a déplacé notre van pour dormir à côté de nos chevaux, on se relaie toute la nuit pour faire des rondes», souffle-t-elle,
Source: Le Figaro August 26, 2020 15:09 UTC