Quatre ans ont passé et la voilà à PyeongChang, à nouveau au plus haut niveau. Mais je sens quand même que j’ai changé pas mal de choses cette année. Ce sont ces deux minutes où je suis sur la piste et ce que j’arrive à faire à la fin. C’est très réducteur de dire que je suis ici pour gagner ou que je peux le faire. Sur le tableau d’affichage, je préfère voir le 1 plutôt que le 4, c’est logique.
Source: Tribune de Genève February 11, 2018 19:18 UTC