«En parlant de Prigojine, je ne tirerais pas de conclusions aussi rapides», glisse-t-il à propos de la mort du mercenaire en chef. Avant d’ajouter : «Je dis qu’il n’y a pas un seul élément de preuve qu’il est mort». Les «sosies» de PoutineLa mort de Prigojine n’est pas le seul sujet sur lequel Kirill Boudanov instille le doute. Petro, la mystérieuse grenouille de BoudanovL’heure n’est plus à la contre-offensive, qu’il tente malgré tout de défendre. «La pénurie [de main-d'œuvre] est palpable», admet-il, affirmant qu’«il n'est même pas concevable de penser que nous puissions nous passer de la mobilisation».
Source: Le Figaro January 22, 2024 15:47 UTC