Sa principale Église, l’EKD (Evangelische Kirche in Deutschland), n’en finit plus de perdre des membres. Et c’est davantage que le record de départs enregistré en 1992 (361 256 sorties), dans le contexte de la réunification allemande. Ce qui facilite d’autant plus les départs que la pratique religieuse, au sein de l’EKD est faible. Une autre hypothèse est de pointer l’impact de la fin du système biconfessionnel allemand. À lire aussi Ukraine et liberté religieuse, par Sébastien FathD’autres pistes interprétatives avancent l’attraction exercée par les Verts : l’écologie fonctionne en effet parfois, en Allemagne, comme un protestantisme de substitution.
Source: La Croix March 14, 2023 21:34 UTC