Chaque fois que Djennelee, 19 ans, voit le panneau annonçant la commune de Taizé, en Bourgogne, elle se sait à la maison. Les chants en canon, la vie en communauté, les bols rouges au petit déjeuner. « Au début, quand tu n’es pas habitué, ça te pousse dans tes retranchements : vivre en communauté, manger ce que tu n’aimes pas, les temps de prière… raconte-t-elle. Mais tout le monde finit par trouver sa place et quand tu rentres, tu te dis : “Wow ! J’ai vraiment vécu quelque chose.” »Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ?
Source: La Croix December 30, 2025 18:37 UTC