À y regarder de plus près, ces moniales ne suivent pas tout à fait le même rythme que les bénédictines classiques. « Nous ne tenons pas à être des bulletins de santé », résume Sœur Bertille. Après des études d’ingénieur, elle suit une retraite spirituelle, et entre dans une congrégation bénédictine traditionnelle. La moniale se souvient d’une Sœur plus âgée, atteinte de polio, avec laquelle elle s’était disputée. Aujourd’hui, les femmes qui se présentent sont de plus en plus atteintes de troubles psychiques, que la communauté, en revanche, ne peut assimiler.
Source: La Croix May 24, 2023 06:21 UTC