Un jour, Michelangelo Merisi, dit Caravage et Cesare Capitani, se sont rencontrés. De son coté, l’écrivain Dominique Fernandez a écrit « La course à l’abîme » (Grasset), qui comme il le dit « tente de ressusciter par l’écriture la figure de Caravage ». Ce texte s’est imposé à Capitani qui s’en est inspiré dans l’écriture de « Moi, Caravage ». Et il ajoute, on ne saurait mieux dire : « Sur scène, Caravage et son double, son alter égo, (sont) à jamais indissociables. Juste des mots, des regards, des geste.
Source: L'Humanite January 15, 2017 20:50 UTC