« On est diplômés, mais Inch’Allah on aura peut-être du travail. Tunisienne et Palestinienne, la jeune femme originaire de Gaza commence cet été-là à travailler en cachette de ses parents. Alors que l’espoir d’un État palestinien, cette jeune génération n’a « jamais eu cette chance », ne serait-ce que de l’envisager. Car « si on ne sort pas de Ramallah, on oublie l’occupation », confie le jeune homme originaire d’Hébron, « Inch’Allah peut être, car ici, on ne sait jamais combien de temps ça va prendre. Il dresse le portrait d’une Palestine qui vit ».
Source: La Croix July 03, 2019 12:39 UTC