Artem avait 16 ans quand la guerre a commencé, en février 2022. Lui et ses parents ont vécu sous occupation dans l’oblast de Kharkiv, tout près de la frontière russe. Trois mois pendant lesquels il a vu son père battu et torturé avec des électrochocs sous ses yeux, car il était soupçonné d’être un résistant. Et puis un jour, on l’a emmené vers une école lointaine, qu’il ne connaissait pas. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ?
Source: La Croix December 23, 2025 11:01 UTC