Commencer à lire ce récit, c’est prendre le risque de ne pas refermer le livre avant d’en avoir atteint la dernière page. Tant l’auteur sait nous embarquer avec elle dans les montagnes russes qu’elle a dû franchir, tout au long des premières années de la vie de son fils Ethan, son premier enfant. Ethan qui ne marche pas encore n’y restera qu’une seule journée, faute de formation du personnel, lui argumente-t-on. Avec l’aide d’une AVS (Auxiliaire de vie scolaire) plusieurs heures par semaine, Ethan tente de s’intégrer à la vie scolaire. Pour elle, c’est à l’école de s’adapter à son fils et non l’inverse.
Source: La Croix September 02, 2020 09:11 UTC