L’historien Périer de Féral a estimé les dépenses dues à la guerre à 10,5 milliards de francs-or, dont 7,7 pour les dommages de guerre et la reconstruction. Le crédit : l’augmentation des impôts est destinée au départ à gager l’amortissement des emprunts à venir et à protéger le crédit de l’Etat et du franc. Encore deux décennies d’efforts et la Belle Epoque prendra la relève de la fête impériale. « Une petite bourse du soir s’organise dans le hall du Crédit Lyonnais où se pressent des hommes en jaquette et des femmes du monde. Suez passe de 730 francs à 1.295 francs ; PLM de 1.135 francs à 1.530 francs ; l’Union Générale émise à 540 francs est à 1.500 francs.
Source: Les Echos August 26, 2016 08:03 UTC