Sept mois après la fin des Jeux olympiques de Paris, Christophe a le blues. Pas parce que cette parenthèse enchantée s’est refermée en même temps que l’été 2024, non. Comme nombre de commerçants, cet ancien journaliste reconverti dans la restauration a pâti de Paris 2024, sa saison estivale ayant été «catastrophique de juin à octobre», à sa grande surprise. En juin dernier et alors que l’organisation des Jeux olympiques nécessitait de premières restrictions de circulation, le premier ministre de l’époque Gabriel Attal avait fait la promesse de créer une commission d’indemnisation. Aujourd’hui en redressement judiciaire, Christophe explique avoir dû vendre l’un de ses établissements et tente désormais de sauver les autres.
Source: Le Figaro April 15, 2025 02:45 UTC