Le Figaro y voit une décision judiciaire arbitraire et idéologique :«Même ses adversaires le reconnaissent, Nicolas Sarkozy, dans cette épreuve, montre un mélange de dignité, d'éloquence, de tempérament romanesque ... . Il l'a dit : ce n'est pas sa liberté qui est en jeu, mais son innocence. ... Désormais, cette histoire le dépasse comme elle dépasse les magistrats qui ont prononcé la sentence. Avec elle, la justice est frappée du soupçon d'arbitraire, de vengeance idéologique, de volonté de puissance : la balance serait-elle détraquée ? Quand il passera les portes de la prison, Nicolas Sarkozy perdra temporairement sa liberté, mais l'autorité judiciaire, pour longtemps, perdra de sa crédibilité.»
Source: Le Figaro October 21, 2025 10:26 UTC