Des choix difficilesFace à la pauvreté, de nombreux jeunes au Guatemala rêvent d’un avenir aux États-Unis. Dans la commune de Joyabaj, Francisca Lares, mère célibataire de 30 ans, a longtemps envisagé l’exil. Mais aujourd’hui, grâce à une formation en couture, elle a décidé de rester et de bâtir sa vie sur place. Selon Pedro Miranda, responsable du centre, investir dans un métier au Guatemala, c’est mieux que payer un passeur. Pour elle, "mieux vaut construire au Guatemala que de tout risquer là-bas là-bas."
Source: Le Figaro April 08, 2025 17:35 UTC