L’enseigne commercialise des fruits et légumes issus de semences interdites à la vente. Si Carrefour se permet de proposer de tels produits dans ses rayons, c'est parce que ce sont les semences qui sont interdites à la vente et non les fruits et légumes qui en sont issus. Mais pour Carrefour, cette loi « favorise la standardisation et ne défend pas assez la biodiversité. Le catalogue officiel des semences autorisées est élaboré par le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (Gnis). Accusé d'être un frein à la biodiversité, le Gnis brandit comme principal argument ses chiffres clés : 3.200 variétés de légumes inscrites.
Source: Les Echos September 21, 2017 14:37 UTC