Réservé aux abonnésRÉCIT - De Gabriel Attal à Édouard Philippe, l’ancien garde des Sceaux s’en prend aux macronistes en rupture de ban. Éric Dupond-Moretti tourne les pages de son agenda pour relever les villes où il est attendu. « Sous la Grèce antique, quand ni Gutenberg ni le téléphone portable n’avaient fait leur œuvre, la politique, c’était d’abord le théâtre. J’aime beaucoup ce contact direct », glisse l’ancien garde des Sceaux, victime de la dissolution et des nouvelles alliances contraintes des macronistes. « J’ai entendu l’actuel ministre de la Justice parler de révolution… Et même d’une révolution de “bon sens”.


Source:   Le Figaro
November 03, 2025 02:00 UTC