RÉCIT - Destitué, frappé de sanctions, l’ancien président de la RS s’accroche au pouvoir et aux avantages qu’il en retire. Au risque d’une rupture avec Sarajevo et d’une remise en cause des accords de Dayton qui ont scellé la paix il y a trente ans. «Milorad Dodik vaincra, la Republika Srpska vaincra. Quand le peuple y croit, les jugements tombent», proclame un panneau publicitaire géant à l’effigie de l’ancien président posant, sûr de lui. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro InternationalL’annonce de ce qui prend l’allure d’un plébiscite se propage en RS, l’entité serbe de Bosnie-Herzégovine (BiH).