Le socialiste a toutefois reconnu qu’une taxation plus forte des plus riches serait de l’ordre du «symbole», tout en appelant à «partager l’effort» de réduction du déficit. Taxe sur les holdings, contribution différentielle sur les hauts revenus, taxe Zucman... Les contribuables les plus riches vont-ils faire une overdose d’impôts à l’issue des débats sur le budget 2026 ? Pas selon l’ancien ministre de l’Économie socialiste Michel Sapin, qui a estimé qu’il «y a encore de la marge avant d’arriver au ras-le-bol fiscal», sur BFM Business jeudi 23 octobre. Publicité«Ce n’est pas la taxation des riches qui règle le problème du déficit», a toutefois reconnu l’ancien ministre, évoquant des mesures de l’ordre du «symbole». Mais il faut «que tout le monde partage l’effort» pour réduire le déficit, a souligné Michel Sapin.