Le pari demeure tout de même risqué pour l’aide-soignante de 34 ans qui a été visée, trois jours à peine après sa condamnation le 4 novembre, par une nouvelle plainte du Crif pour « incitation à la haine ». Amira Z., la fondatrice de l’association Nice à Gaza, figure locale parmi les plus radicales de la cause palestinienne, a écopé le 4 novembre de trois ans de prison, dont deux ans avec sursis (aménageables sous bracelet électronique), pour une série de propos antisémites publiés sur le réseau social X. Cette dernière a fait appel de la décision, indique vendredi au Figaro l’un de ses trois nouveaux conseils, confirmant une information de Nice-Matin. Un nouveau procès aura donc lieu dans les mois à venir.