Il devait y avoir une centaine d’euros dans cette tirelire, c’étaient les pourboires du mois d’octobre. On leur a donné la carte, et c’est pendant qu’ils l’ont consultée qu’ils ont volé la tirelire. […] Trois commerçants sur quatre déclarent avoir déjà été victimes de vol ou de tentative de vol ». Permettre le « name and shame »« Le recours à la vidéoprotection est souvent employé par les commerçants d’abord pour son effet dissuasif. En effet, ces images ne peuvent être utilisées ou diffusées sous peine de sanctions, en vertu du droit à l’image.