Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - Le secrétariat général du gouvernement a rédigé une «note blanche» pour préciser les règles qui continueront de s’appliquer à l’ancien président de la République. Privation temporaire de liberté ne signifie pas privation définitive de moyens. Incarcéré ce mardi matin à la prison de la Santé, après sa condamnation - dont il a fait appel - dans l’affaire dite du financement libyen de sa campagne, Nicolas Sarkozy a salué sa famille et ses soutiens rassemblés aux abords de son domicile avant de s’engouffrer dans son véhicule, direction la maison d’arrêt parisienne. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves ThréardÀ sa sortie, Nicolas Sarkozy pourra également retrouver une partie des moyens que l’État met à sa disposition en sa qualité d’ancien président de la République - décret n°2016-1302 du 4 octobre 2016 -, et qui ne vont pas lui être retirés en raison de sa détention. Selon une note blanche rédigée…