Par Emmanuel GraslandVoilà un an, le chancelier SPD Olaf Scholz avait jugé que le nucléaire était « un cheval mort » en Allemagne . En tête des sondages pour les élections de février, les conservateurs refusent quant à eux d'écarter la technologie.
Par Emmanuel GraslandVoilà un an, le chancelier SPD Olaf Scholz avait jugé que le nucléaire était « un cheval mort » en Allemagne . En tête des sondages pour les élections de février, les conservateurs refusent quant à eux d'écarter la technologie.