Pour Delfi, Trump est sur la sellette :«En fin de compte, les ennemis et alliés des Etats-Unis, pourtant moins puissants - Iran, Russie, Hamas et Israël - ont renforcé leur assise, tandis que Washington semble en position de faiblesse. Tout ça parce que d'un côté, Trump se fend de menaces auprès de certains Etats, et que de l'autre, il s'efforce de répondre au désir des électeurs américains de ne pas s'impliquer dans des conflits armés en dehors des États-Unis. Après les longues guerres en Irak et Afghanistan, en a assez des interminables conflits à l'issue incertaine, qui font à chaque fois un nombre incalculable de victimes. ... La politique étrangère de Trump est donc dans l'impasse. Cela permet au président américain de faire porter le chapeau à autrui.»