Pas du tout, estime Jean-Noël Barrot pour qui ces deux sujets peuvent se mener de front. Qui doit, poursuit-il, «exiger la levée du blocus financier et le paiement des sommes dues à l’Autorité palestinienne par Israël». Lesdites taxes devaient ensuite être reversées à l’Autorité Palestinienne pour financer son budget, le traitement des fonctionnaires par exemple. «Comment s’étonner de la faiblesse de cette Autorité quand on la prive de 2 milliards d’euros ?» demande Jean-Noël Barrot. Comme preuve de sa bonne volonté, Jean-Noël Barrot cite cette lettre envoyée par Mahmoud Abbas en juin au président Macron.


Source:   Le Figaro
July 27, 2025 16:58 UTC