« Les vingt premières minutes, on était dans la peur, le stress et l’émotion, admet le sélectionneur français. Je voudrais remercier le public parce que ce n’est pas facile de regarder un match quand un adversaire joue ainsi. Mais ils répliquaient par Koné, toujours lui, dont le centre-tir à rebond était tout proche de tromper le gardien américain Schulte (43e). Lui qui rêvait de derniers frissons internationaux pendant ces JO, le Lyonnais de 34 ans était justement récompensé. Comme Henry et les Bleus en 1998, finalement ; on a même entendu dégringoler des tribunes des « et un, et deux, et trois-zéro ».


Source:   L'Equipe
July 24, 2024 22:25 UTC