Le 10 mars 2024, Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi pour une « aide à mourir« [2]. La plupart des Français pensent que l’aide à mourir est préférable lorsqu’en fin de vie, on veut éviter des souffrances inutiles. Mais peu d’entre eux savent quelles dérives funestes potentielles se cachent derrière sa légalisation. C’est ainsi que ce système conçu pour s’appliquer à des cas relativement rares, a rapidement montré sa vocation à s’étendre sans limite. Précédemment, les mineurs de plus de 12 ans pouvaient demander l’euthanasie avec le consentement d’un tuteur requis jusqu’à 16 ans.


Source:   Le Figaro
October 09, 2025 20:02 UTC