En ce mois de mai, on aurait aimé que nos députés se tournent vers la vie et redonnent espoir à la jeunesse du pays. « C’est une rupture médicale, […] législative et anthropologique, car la vie humaine en société s’est construite sur l’interdit absolu de tuer l’autre. Or, sans les nommer, le texte instaure le suicide assisté et l’euthanasie qui autorisent à administrer la mort. Ainsi, une mort provoquée par euthanasie serait déclarée « mort naturelle » alors que ce ne serait pas la réalité. En démocratie, les députés ont un devoir de clarté : « Une terminologie ambiguë ou floue ne peut qu’être facteur d’insécurité juridique, sociale et médicale.