Par Solenn PoullennecTout juste entrée en fac de médecine à Paris, Julie Daviet est soulagée. Elle a réussi le concours du premier coup à l'issue de sa première année, mais autour d'elle, des camarades recalés se sont retrouvés un temps « sans solution » ou dans des filières qui ne leur convenaient pas. « La seule façon d'échapper à toutes les galères administratives, c'est de passer en médecine, sinon c'est un enfer », lâche-t-elle.