L’ambassadeur a rédigé en 2023, pour la Fondapol, une note où il explique pourquoi « aucune politique migratoire cohérente n’est possible sans la dénonciation de l’accord franco-algérien de 1968 ». La promesse de Laurent Nunez de les « renégocier » dans un sens plus favorable à la France, conformément au vœu du premier ministre Sébastien Lecornu, est selon lui « une grande farce » : « Elisabeth Borne quand elle était à Matignon, Gabriel Attal, puis François Bayrou avaient agité la menace de cette renégociation et rien n’a été fait » énumère-t-il.