Sauf qu’un second câble sous-marin, l’Arelion, qui relie la Lituanie à l’île de Gotland [Suède], a lui aussi été coupé. Mais pour l’entreprise suédoise Arelion, son propriétaire, il est encore trop tôt pour parler d’un sabotage. Cependant, l’hypothèse d’une « opération hybride », et donc celle d’un sabotage, a été fortement suggérée dans un communiqué publié conjointement par les ministères allemand et finlandais des Affaires étrangères. « Nous sommes profondément préoccupés par la rupture du câble sous-marin reliant la Finlande et l’Allemagne dans la mer Baltique. Nous devons partir du principe […] qu’il s’agit d’un sabotage », a-t-il dit, en marge d’une réunion avec ses homologues européens à Bruxelles, ce 19 novembre.