Par Bruno TrévidicPour une fois, les compagnies aériennes françaises trouveront un avantage à figurer tout en bas de la chaîne de valeur du transport aérien. Alors que le projet de loi de finances 2025 devrait se traduire par d'importantes ponctions supplémentaires sur les bénéfices de quelque 400 grandes entreprises, dont Airbus et Safran, les compagnies aériennes françaises devraient toutes y échapper. Y compris Air France-KLM et le pôle aérien du groupe Dubreuil (Air Caraïbes et French bee), qui remplissent pourtant les critères d'éligibilité.
