L’association se donne quatre ans pour que l’institution internationale y inscrive les « pratiques sociales et culturelles dans les bistrots et cafés en France », de la même manière que la baguette en 2022. « Nous allons montrer au monde cette façon très française d’aborder tous les sujets au bistrot, qu’ils soient badins ou très sérieux, avec apaisement », a poursuivi Alain Fontaine. D’abord, une attractivité touristique nouvelle, « faire savoir qu’à côté de Notre-Dame à Paris ou la Bonne-Mère à Marseille, il y a aussi les bistrots et les cafés », souhaite Alain Fontaine. Petite originalité, il a aussi l’odeur de la boulangerieMais surtout, « préserver le métier de patron et patronne de bistrot, en danger ». Le nombre de bistrots a été divisé par dix depuis 1945, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, rappelle Alain Fontaine.


Source:   L'Humanite
November 15, 2024 16:35 UTC