Réservé aux abonnésANALYSE - L’avenir des accords d’Abraham, voire des traités de paix avec Israël, est en jeu si l’État hébreu annexe la Cisjordanie.
Très inquiet des représailles israéliennes à la reconnaissance de la Palestine par de nombreux États, un groupe de dirigeants arabes devait rencontrer ce mardi Donald Trump à la Maison-Blanche pour le presser de retenir le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, que le président américain recevra lundi.
À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro InternationalSelon des sources arabes, des invitations ont été envoyées à l’Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis, au Qatar, à l’Égypte, à la Jordanie, à la Turquie - les principaux pays impliqués dans le règlement de la guerre à Gaza - ainsi qu’au plus peuplé des pays musulmans, l’Indonésie, et au Pakistan, qui vient de raffermir ses liens avec la monarchie saoudienne.
Les États-Unis espèrent obtenir leur soutien à une proposition de paix et de gouvernance d’après-guerre à Gaza, rapporte le site Axios.
Elle inclurait la libération des otages israéliens détenus par le Hamas dans la bande de Gaza, une exigence de Benyamin Netanyahou, ainsi que la fin de la guerre et un retrait militaire israélien…