Le premier ministre a reconnu dans La Tribune Dimanche qu’il aura «besoin de tout le monde» pour mener les réformes. Et en particulier de Gabriel Attal, alors que des tensions étaient apparues ces dernières semaines entre les deux hommes. Face à «une situation très dégradée» qui va le conduire à proposer 40 milliards d'euros d'économies et 20 milliards de hausses d'impôts, Michel Barnier joue l'apaisement avec son propre camp. «J’ai besoin de lui»«J'ai beaucoup d'estime pour Gabriel Attal. «J'en parlerai avec le chef de l'État pour que nous trouvions les meilleures solutions», indique Michel Barnier.